La prose singulière de Claude Perez agit à la manière d’une caméra subjective qui nous plonge avec délectation dans le Paris des années 1880. Ce récit singulier, hors des sentes classiques de la biographie, pas le biais de citations aiguisées, nous permet le temps d’une lecture d’embrasser l’incarnation de ces êtres de mots et de sens : Camille et Paul Claudel.