C'est au cœur du confinement de mars 2020 que je suis entrée en contact avec mon ange gardien. Ma surprise fut totale lorsque j'appris l'identité de mon visiteur : Walter Höffer. Né en 1902, mort en 1982, ayant partagé sa vie entre l'Allemagne et l'Argentine, pays refuge où il finit ses jours comme viticulteur.
Cet ange gardien, missionné pour veiller sur moi, m'a raconté non seulement ses aventures post mortem, mais aussi comment il a pu rejoindre la Lumière malgré ses choix criminels pendant la Seconde Guerre mondiale. Il m'a parlé du " travail sur nous-mêmes " auquel les bouleversements terrestres actuels nous poussent. Il m'a invitée à réfléchir sur le pardon, non tel que nous le concevons, mais comme une énergie qui calme les souffrances, en libérant de l'emprise de la haine ou du ressentiment. " Il est temps pour l'humanité d'avancer, m'a-t-il dit, et pour soulager notre monde, il faut définitivement soigner les plaies de son histoire. "
C'est cette surprenante rencontre que je partage ici avec vous. Elle nous entraînera sur le chemin de la bienveillance et de la Lumière, nous rappelant que le but de notre existence est l'amour.