1959. Au deuxième étage du grand magasin F. G. Goode’s de Sydney, des jeunes femmes vêtues de petites robes noires s’agitent avant le rush de Noël. Parmi elles, Fay, à la recherche du grand amour ; l’exubérante Magda, une Slovène qui règne sur les prestigieux Modèles Haute Couture ; Lisa, affectée au rayon Robes de cocktail, où elle compte bien rester en attendant ses résultats d’entrée à l’université... Dans le secret d’une cabine d’essayage ou le temps d’un achat, les langues se délient, les vies et les rêves des vendeuses se dévoilent. Devenu un classique dans les pays anglo-saxons, Les Petites Robes noires, remarquable instantané de l’Australie des années 1950 et critique subtile de la place de la femme dans la société, est un chef-d’œuvre de finesse et d’esprit.
Des dialogues affûtés, voire franchement acides, et une plume aussi fine qu’alerte. Le Figaro magazine.
C’est drôle, grave, rafraîchissant et toujours élégant. Version Femina.
Traduit de l’anglais (Australie) par Sabine Porte.