Morgan a trois passions : la victimologie, qu’elle étudie, ses chiens – Cloud, Chester et George – et Bennett, son fiancé canadien rencontré sur Internet, avec lequel elle entretient une relation torride. Alors qu’elle rentre chez elle, Morgan trouve son petit appartement de Brooklyn dévasté. Son amant est plus mal en point encore : lacéré par les crocs de ses fidèles compagnons, il est bel et bien mort.
Traumatisée, la jeune femme est pourtant convaincue de l’innocence de ses chiens. En revanche, Bennett, dont elle explore le passé, n’est pas l’homme qu’elle imaginait. Elle découvre un personnage trouble, voire dangereux. Morgan n’est pas au bout de ses surprises.
Ne mords pas la main qui te nourrit est un thriller psychologique haletant qui pose une question dérangeante : connaît-on réellement ceux qui partagent nos vies ?
Un page turner très réussi, qui donne la chair de poule. Vanity Fair.
Irrésistible. Vogue.