La première édition de Cet été qui chantait a été publiée en 1972, bientôt suivie de la traduction anglaise. La présente édition est accompagnée d'une chronologie de Gabrielle Roy et d'une bibliographie de la critique.
Écrit peu de temps après la mort de Bernadette, la " chère petite sœur " bien-aimée, au cours d'un des étés que Gabrielle Roy passait à sa maisonnette de Petite-Rivière-Saint-François, dans Charlevoix, cet ouvrage est un livre de deuil. Mais un deuil à la fois vécu et consolé par " l'éblouissante révélation de toutes choses ", par les voix du vent, de la mer et du ciel, par le chant de toutes les choses vivantes, arbres, fleurs, oiseaux, humains. Images du paradis, mais d'un paradis hanté par la mort, les dix-neuf récits qui composent cet ouvrage parlent le langage du cœur, dont ils disent l'enchantement et la détresse, mais surtout la confiance infinie faite à l'innocence et à la beauté du monde.
Prix Athanase-David pour l'ensemble de son œuvre 1970
Prix Femina 1947 (Bonheur d'occasion)
Prix littéraire du Gouverneur général 1977 (Ces enfants de ma vie)
Prix Ludger-Duvernay de la Société Saint-Jean-Baptiste pour l'ensemble de son œuvre 1956