Roman traduit de l’hébreu par Laurence Sendrowicz Dans cet ultime roman, Yoram Kaniuk met en scène un vieux peintre désabusé, dont la spécialité est de représenter les morts. Un matin à l’aube, il reçoit l’appel d’une étrange femme qui sollicite ses services alors qu’elle vient de perdre son mari. Cette rencontre va lui permettre de retrouver le seul être qui ait aimé et (peut-être) compris son œuvre.
À qui s’adresse l’artiste ? Une œuvre d’art existe-t-elle uniquement si elle est vue ? Avant de nous quitter, Kaniuk, peintre et grand connaisseur d’art, nous fait part de sa vérité.