En quittant l’hôpital psychiatrique où ils ont laissé Ineko, qui souffre de cécité partielle, une maladie mentale qui a nécessité son internement, sa mère et son amant, Hisano, poursuivent dans un paysage étincelant de pissenlits en fleur une conversation étrange et surréaliste où se déploient confidences intimes et souvenirs. Inédit en France, ce roman inachevé dévoile une nouvelle facette de la virtuosité littéraire de Kawabata.
« Les Pissenlits laisse sur sur le lecteur une profonde empreinte lumineuse et mélancolique. » (C. Renou-Nativel, La Croix)