André Pieyre de Mandiargues rassemblait régulièrement ses textes critiques sous le titre général de Belvédères. Il en publia trois, en 1958, 1962 et 1971. Un quatrième, publié peu après sa mort, ne regroupa qu’une partie des textes qu’il n’avait pas publiés lui-même. Il nous a donc semblé nécessaire, en accord avec Sibylle de Mandiargues, de publier cet Ultime belvédère. Cette nécessité tient autant à la prose déroutante de Mandiargues qu’à l’importance des figures que l’on croise en ces chroniques : Apollinaire, Cingria, Gracq, Michaux, Perros, Noël, Bellmer, Brauner, Mirò, Saura…