L’armée Anti-ares a enfin lancé son attaque contre l’Empire. Ses soldats, en position dans les égouts, ont envahi la tour du langage, et ont éliminé avec une facilité déconcertante les soldats du bureau du protocole. Après avoir pris en otage les dignitaires des délégations étrangères, l’armée lâche dans la ville les « graffias », ses chars d’assaut à mobilité maximale.
C’est un véritable coup de tonnerre qui s’abat sur la capitale. La terreur frappe indifféremment nobles et roturiers. L’armée Anti-ares veut tout simplement annihiler l’Empire !
Mais la contre-attaque s’organise…