La Grammaire homérique de Pierre Chantraine, dont la première édition date de 1942 et qui a été retirée en 1953, puis en 1958 (avec une conclusion traitant des problèmes dialectaux à la lumière des tablettes mycéniennes récemment déchiffrées), est devenue un monument historique irremplaçable et, comme tel, elle avait besoin d'être entretenue : Michel Casevitz s'est donc chargé de la débarrasser de ses multiples coquilles (fautes d'accents, caractères manquants, par exemple) pour offrir ici une édition définitive.