« Je n'ai pas peur de la mort. C'est vivre, qui me préoccupe. » Margaret Drabble illustre ici magnifiquement son propos en nous offrant, dans un style empreint d'humour et d'empathie, une réflexion sur le « flot sombre », présage de la fin de l'existence.
Les personnages nous proposent, à travers leurs souvenirs et pensées, une fine analyse de notre époque et une savoureuse critique sociale. Décidés à vivre – joyeusement parfois, dignement toujours – le reste de leur vie, ils combattent les tourments de la vieillesse, incarnant des portraits caustiques et pleins d’esprit du troisième âge.
Une méditation sur cette unique certitude qu'est notre fin, sujet rarement traité avec autant de vitalité et de justesse.
Sous la plume de Margaret Drabble, ce qui pourrait être sinistre devient étrangement tonifiant. Christophe Mercier, Le Figaro.
Un roman infiniment dense et spéculatif qui dresse un tableau réaliste, perspicace, tonique et volontiers caustique de notre époque. Nathalie Crom, Télérama.
Traduit de l’anglais par Christine Laferrière.