Être consciencieux et prendre son boulot de tueur à gages avec le même sérieux que n’importe quel travail ne vous protège pas du dégoût. Depuis qu’il a dû éliminer Frank MacLeod, Calum reste le seul homme de main de Peter Jamieson et cela ne lui convient pas. D’ailleurs, sa décision est prise : à l’occasion de sa prochaine mission, il va se faire la belle. En douceur, sans trop de casse. Mais dans le monde du crime organisé, la douceur n’est pas de mise. La seule issue possible serait-elle encore et toujours la violence ?
Après Il faut tuer Lewis Winter et Comment tirer sa révérence, le troisième et dernier volet d’une trilogie déjà mythique.
Un polar d’un troublant réalisme, qui vient clore en beauté un ténébreux triptyque.
Philippe Blanchet, Le Figaro magazine.
L’écriture, le rythme, la psychologie des personnages sont toujours haletants et subtils. C’est aussi noir que lumineux.
Karin Cherloneix, Ouest France.