Le bon, la brute et l'abruti...
" Le coup du siècle ! " C'est comme ça que Canard leur a présenté les choses. Imaginez un type un peu simplet qui vit dans une institution spécialisée. On le kidnappe, c'est pas compliqué. Et on l'emmène à Genève parce que c'est dans une banque suisse que le frère jumeau du simplet, une des plus grosses fortunes du CAC 40, cache son pognon. Là, on fait passer le simplet pour l'autre et on rafle la mise " sans arme et sans violence ". Évidemment, Antoine et Jean-Jacques disent banco ! Sur le papier, c'est net et sans bavure. Seulement les trois pieds nickelés sont loin d'être les couteaux les plus affûtés du tiroir...