« Elle est laide et vulgaire. Elle a la beauté qui rend les hommes méchants. Il me la faut. »
Sabine reste sans voix lorsque ses collègues lui offrent une sex doll pour fêter son départ. La poupée insolite élit domicile chez elle et son compagnon Hans, génial metteur en scène obsédé par Titus Andronicus, la plus sanglante tragédie de Shakespeare. Au fil des jours, l’immobile invitée devient la confidente de Sabine, la muse, l’objet de tout désir, et bientôt la seule alliée contre la violence qui s’est installée au cœur d’un couple en ruines.
Une fable secouée et secouante. Olivia de Lamberterie, Elle.
Une réflexion passionnante sur le désir. Mathilde Nivollet, Le Parisien.
La réalisation est brillante et le résultat paré de singularité. Anaïs Ballin, Page des libraires.
Explosif et surprenant. Sophie Pujas, Le Point.
Ce nouveau roman surprend à nouveau, réjouit autant qu’il dérange. Delphine Peras, L’Express.
Prix Monte-Cristo.