Théo, enfant du divorce, entraîne son ami Mathis sur des terrains dangereux. Hélène, professeur de collège à l’enfance violentée, s’inquiète pour Théo : serait-il en danger dans sa famille ?
Quant à Cécile, la mère de Mathis, elle voit son équilibre familial vaciller, au moment où elle aurait besoin de soutien pour protéger son fils.
Les loyautés sont autant de liens invisibles qui relient et enchaînent ces quatre personnages.
Sobre, subtil, d’une force magistrale. On ne lâche pas ce roman qu’on lira d’une traite. L’Express.
Delphine de Vigan décrit avec une rare acuité les relations qui se tissent et se nouent entre les êtres. Le Figaro.
Son propos est aussi rêche que sa voix est douce. À travers ces lignes, on sent qu’elle revient de loin, de ces années où « rien ne s’oppose à la nuit ». C'est peut-être pour ça qu'elle est montée si haut et si magnifiquement dans sa façon d'écrire le monde. Elle.
Delphine de Vigan ne juge rien ni personne. Elle s'interdit toute forme de compassion, et ne tire aucune morale. Elle témoigne, et c'est l'essentiel. BibliObs.