« Il se plante devant la porte ouverte, jambes écartées, poings sur les hanches. Il hume l'air. La nuit s'annonce douce et tranquille. Mais d'un coup, ses sourcils se froncent, une ombre passe, et sans se retourner...
— Passe-moi le fusil, j'vais allumer le chat !
Il n'a pas bu pourtant, juste quelques verres de rouge au dîner, autant dire rien.
— Et pourquoi tu veux l'allumer, dis ?
— Quand il me regarde, j'ai l'impression qu'il se fout de ma gueule. Alors, là, j'en ai marre... Je vais lui régler son compte à ce salopard ! »
Le premier roman de Barbara Constantine, tendre mais pas gentillet, ironique mais bienveillant, irrésistible et réjouissant.
Un éclat de rire, un pied de nez sautillant au nombrilisme et aux gravités de l’existence. Clara Dupont-Monod, Marianne.
Un art spectaculaire pour enchanter le quotidien. Astrid de Larminat, Le Figaro.
Des pages revigorantes, un délicieux délire. Hubert Prolongueau, Le Journal du dimanche.