« Je me laissais manipuler doucement et puissamment : Romain avait une vraie dextérité pour les massages, et savait faire durer ce plaisir où il engageait, autant que du doigté, les mots triviaux et caressants d’un amant ou d’un geôlier : « Ma petite salope d’amour ! Mon étoile dans la boue ! Jolie catin ! »
Entre romance et récit, de la fin des sixties au mitan des années 80, l’héroïne de Pas farouche retrace son parcours sentimental et sexuel sous le signe du hasard.