« Qui croit encore de nos jours aux fantômes ? A ces draps blancs qui s'agitent dans les corridors des romans de Walter Scott ? A ces tables tournantes dont se servait Victor Hugo pour parler à sa fille défunte ?
Pourtant, bien des fois au cours de mes promenades dans Paris, en m'arrêtant devant une plaque
DANS CETTE MAISON VECUT, j'ai ressenti un frisson...
En sonnat chez Méliès, Lautrec, Marquet, Gauguin, Atget, Calder, Beckett, Michaux et Follain, chez toutes ces personnes parties sans laisser d'adresse, je me suis retrouvé face à des fantômes. Il ne me restait plus qu'à les faire parler. »
M. L.