Il n'y a pas d'échec amoureux. A. N.
Zoïle est tombé éperdument amoureux de la douce Astrolabe, mais la jeune femme consacre tout son temps à Aliénor, une romancière géniale quoique légèrement attardée. Par dépit, il décide de détourner un avion et de l’envoyer percuter la tour Eiffel. A moins que…
Tout est possible. Et, dans ce possible, on se laisse volontiers guider par une Amélie défoncée qui, jonglant avec ses figurines de lanterne magique, s’envoie joyeusement en l’air… Jean-Paul Enthoven, Le Point.
Le Voyage d’hiver, titre emprunté à Schubert, […] est une fantaisie originale dont l’étrange saveur ne se dissipe pas de sitôt. Delphine Peras, Lire.
Lumineux démiurge, Amélie Nothomb apporte un peu de légèreté dans un monde d’une terrifiante gravité. Son nouveau roman est épatant ! François Busnel, L’Express.