« La première fois que tu es mort, j'avais sept ans et demi. »
Quels drames et quels enjeux faut-il pour qu'un enfant décide de gagner sa vie comme écrivain, à l'âge où l'on perd ses dents de lait ?
En révélant ses rapports avec son père, Didier van Cauwelaert nous offre son plus beau personnage de roman.
Un père à l'énergie démesurée, à l'humour sans bornes et aux détresses insondables, qui a passé sa vie à mourir et renaître sans cesse. Un père redresseur de torts et fauteur de troubles.
Drôle, émouvant et tonique, le Père adopté est un merveilleux récit des origines et un irrésistible appel à inventer sa vie en travaillant ses rêves.