Dans ces nouvelles douces amères, Elizabeth Bowen ― qui fut comparée à Jane Austen ou à Virginia Woolf ―, glisse derrière le paravent des bonnes manières l’indifférence ou la cruauté d’une amie, d’une sœur, d’une jeune nièce. Sous les conversations anodines couvent des passions inavouées, où parfois s’invite l’ombre d’un fantôme…