Sur un ton intime, allègre et érudit, Lucien Jerphagnon présente avec humour les grands thèmes de la pensée antique et dénonce des contre-vérités qui se sont installées. Il aborde aussi des sujets plus personnels : ses amis, ses affections et ses conversations avec les dieux. Des présocratiques à Vladimir Jankélévitch, ces pages posthumes portent un même message, qui nous rappelle qu’il faut conjuguer le présent avec la plus divine des obligations : « rire ».
Un style étincelant, un humour aussi réjouissant que savant. Olivier Bloch, L’Humanité.
Lucien Jerphagnon, un passeur qui redonne de la saveur aux questions éternelles. Paul-François Paoli, Le Figaro littéraire.