Je revendique complètement ma connerie et mes dérapages. Parce qu’il y a là quelque chose de vrai. Et si on ne dérape jamais, c’est souvent qu’on est un peu con.
Je ne maîtrise rien, je ne fais que suivre, et parfois supporter mon amour de la vie et des autres. Un amour qui, comme disait François Truffaut, est à la fois une joie et une souffrance.
Je ne cherche pas à être un saint. Je ne suis pas contre, mais être un saint, c’est dur. La vie d’un saint est chiante. Je préfère être ce que je suis. Continuer à être ce que je suis. Un innocent.
G. D.
Les confessions d’un acteur du siècle. Le Figaro.
Sa curiosité reste intacte, comme son exquise humanité. France Dimanche.
Libre. C’est probablement le terme qui définit le mieux l’homme et l’acteur, entier, singulier, sincère. Madame Figaro.