LE DIRECTEUR GENERAL DE MAX HAVELAAR FRANCE REPOND DE FAÇON SIMPLE A TOUTES LES QUESTIONS AU SUJET DU COMMERCE EQUITABLE QUE SE POSENT LES CONSOMMATEURS.
IL DECORTIQUE LES FONDEMENTS, LE FONCTIONNEMENT ET LES IMPLICATIONS ECOLOGIQUES, SOCIALES , POLITIQUES DE CETTE PRATIQUE PLUS " HUMAINE " DE L'ECONOMIE.
Aujourd'hui, dans tous les supermarchés, personne ne peut plus échapper aux produits dits éthiques. Une multitude de labels, certificats et autres mentions apposés sur les emballages promettent en effet à tout acheteur la " valeur morale " de tel ou tel produit issu du " commerce équitable ".
Désormais avant de mettre son café, son thé, son chocolat, son riz ou ses bananes dans son caddie, les consommateurs s'interrogent : sont-ils suffisamment responsables, agissent-ils vraiment pour les producteurs guatémaltèques, népalais ou burkinabés. Mais, devant le maquis des logos qui fleurent bon l'altermondialisme et le développement durable, il arrive au citoyen-acheteur de douter : ce " commerce équitable " ne serait-il pas un simple argument de vente, qui se cache derrière les différents labels, le petit producteur guatémaltèque existe-t-il vraiment et surtout est-il mieux traité ?
Joaquin Muñoz, directeur général de Max Havelaar France, " géant " du commerce équitable A travers une série d'exemples concrets, répond à l'ensemble de ces interrogations en traitant la question de manière simple et généraliste.