Haro sur l'Aspartame ? Mais à qui profite le crime ?
Cela fait plusieurs décennies que les édulcorants, et l'aspartame en particulier, sont confrontés à des procès infamants. Quid de l'obésité, du surpoids et du diabète ou, à l'inverse, de l'anorexie, qui sont à l'origine de leur consommation ? Sous la pression de certains lobbies sucriers, des professionnels du catastrophisme, au nom du principe de précaution et d'une immortalité supposée, l'aspartame serait dangereux. Quel a été le rôle de l'OMS et des politiques ou celui, ambigu, des médias et des réseaux sociaux ? Depuis sa mise sur le marché en 1978, l'aspartame a été l'objet de nombreuses enquêtes cliniques aux niveaux européen et mondial, prouvant à chaque fois son innocuité.
Ce livre retrace chacune de ses remises en question, les accusations que cet édulcorant a subies – cancers, naissances prématurées –, mais surtout révèle ses effets positifs sur la santé puisqu'il limite les dangers de la sédentarité, de la malbouffe et de l'abus de sucres qui fabriquent, eux, des maladies mortelles, comme le diabète. Cette molécule profite également au développement durable en réduisant les cultures sucrières.
La peur fait vendre. Ce document est une mise au point.