Après un hommage rendu à Aurélien Sauvageot co-fondateur de la revue, Eva Toulouse consacre un article à l'apparition de l'écrit chez les Oudmourtes. Puis Sébastien Cagnoli cherche à évaluer l'impact de l'organisation des enseignements dispensés à Leningrad sur le développement du théâtre Komi. Jean-Pierre Minaudier s'intéresse à la France vue par trois écrivains estoniens. Martin Carayol présente la littérature fantastique estonienne. Henri-Claude Fantapie étudie deux oeuvres d'Erkki Salmenhaara. Enfin Georges Kassai s'attache à étudier la "vision linguistique" de Dezso Kosztolanyi.