Comme il l’avait fait avec La mue, Pierre Bergounioux revient sur ses déméles avec le temps et son inlassable travail sur l’existence. A toutes les échelles de l’histoire, il en flaire et détoure les empreintes. Tout n’est que résurgence dans ces Métamorphoses où chacun des actes présent semble procéder d’une cause à venir, et inversement.