Toujours aussi iconoclaste, Hélène Bruller brosse le portrait décapant de son entourage.
Elle a cherché tant et plus le prince charmant, jusqu’à se résoudre à épouser l’homme qu’elle aime vraiment, même s’il ne répond pas à tous ses critères rêvés de « prince charmantitude ».
Elle a révélé ensuite qu’elle était une vraie salope, rebondissant après une rupture douloureuse en dégommant impitoyablement les hommes tel un char Panzer du sentiment bafoué.
Aujourd’hui, Hélène Bruller est amour. Comment ? Aurait-elle changé et mis de l’eau dans le vin de son caractère bien trempé et de ses bons mots vachards légendaires ? Que nenni ! Hélène évoque ici ses amis, ses proches, et par le biais de ces exemples concrets, dresse la typologie des profils sociaux des actifs urbains de notre monde contemporain. Un portrait partial, subjectif et corrosif, où tout le monde reconnaîtra ses voisins, ses collègues de bureau ou sa famille… Et quand tout ce petit monde gravite autour d’une seule et même personne qui cherche à mettre en contact les uns et les autres, ça fait des étincelles !
Bref, Hélène Bruller n’a rien perdu de sa verve caustique légendaire et de son sens du détail qui tue, et personne ne sera épargné !