« Je raconte ici l’histoire d’un petit nombre d’hommes qui, poussés par les événements, ne se hissaient point à leur portée.
Avant de rejoindre le monde des esprits, François-le-Grand avait estimé que ses successeurs ne seraient au mieux que des comptables ; c’était vrai : le règne de Nicolas-le-Mauvais puis celui de François-le-Petit avaient tourné aux calculs, à la combine, aux querelles de coteries.
Ces parvenus avaient ennuyé le peuple, ils l’avaient trompé, maintenant ils l’exaspéraient. »
Après les truculentes chroniques du « règne » de Nicolas Sarkozy, Patrick Rambaud revient en satiriste inspiré. Gilles Heuré, Télérama.
Cette fois, sa cinglante opérette serait à pleurer, si Rambaud n’était pas là pour nous faire rire de tout. Grégoire Leménager, L’Obs.