D’un côté, une critique qui s’en tient à “L’Assassin habite au 21” et “Quai des orfèvres” de Clouzot. De l’autre, Cocteau qui voyait en Steeman le « Fregoli du roman policier »… Cet ouvrage entend trouver un juste milieu entre ces deux approches en prenant en compte l’état d’esprit particulier de l’auteur: son besoin de jouer avec les limites du roman policier classique, psychologique ou « noir », voire les limites du langage et même de la création, avec une activité incessante de réécriture.