Il convenait, en terminant cette série d'ouvrages consacrée à la pensée grecque, de donner des leçons sur Plotin. Non seulement on mettrait là à jour les oppositions de Platon et d’Aristote, mais aussi leur affinité qui les rend encore propres à élémenter du dedans notre pensée dans un dernier regard sur la vieille " culture hellénique ". Dans cette saisie de plus en plus fine, il apparaît que la pensée inaugurait une route mathématique (Nicolas de Cuse), tandis que d’autre part, Marcile Ficin s’orientait vers le jardin des roses de la théologie. Mais, pour souligner l’unité de ce qui a émergé, nous parlerons non plus de leçons, mais de perspectives.