Le millième livre sur Proust ? Non : «Proustiennes, entendu comme Gnossiennes, ces petites mélodies enlevées, tour à tour graves et sautillantes, aventureuses, nostalgiques ou burlesques, croquis tracés à main levée, effleurant leur sujet, ne l’approchant que de biais, par la tangente, reflet éphémère, vite rendu au grand tout».