Ce jour est historique :
il vient vous annoncer l’avènement de l’élastogénèse
dont le Manifeste précise la nature.
Rien n’est trop grand pour Richard Texier. Rien, non plus, n’est trop petit. L’univers seul, toutes les échelles qu’il contient, peut donner la bonne mesure du travail de ce peintre-sculpteur né en 1955. Déjà, de Singapour à New-York, de Cordouan à Moscou, ses “ateliers nomades”, devenus stables et solides au paysage, figuraient autant de bornes géodésiques pour dresser du monde une carte nouvelle. Le Manifeste de l’elastogénèse en est maintenant la légende.
A qui voudra ouvrir les yeux, le cosmos découvre un visage neuf tendu par une force élastique qui opère”comme une plasturgie des rêves” : «le mou est plus fort que le dur».
Un entretien avec Zéno Bianu – qui donne également, sous forme d’abécedaire (Alphabet des éblouissements), les outils indispensables pour arpenter ces contrées au frais reliefs – vient fixer les contours de la révolution.