Quand Michael Jackson était noir, il était blanc. Quand Michael Jackson était vieux, il était jeune. Maintenant qu'il est mort, le voici vivant.
Un livre zébré, digressant, ingénieux, pulsatile. En 170 pages électriques, l’auteur de Transfusion prouve qu’un petit volume littéraire peut cracher des décibels. Marc Lambron, Le Point.
Le propre de la dualité étant de cerner le mystère où se cache, se contracte et surgit la vérité d’une vie, c’est dans les contradictions du chanteur que Yann Moix éclaire son destin. Quand chacun s’intéresse au corps de Michael Jackson, aux outrages qu’il a reçus et à ceux qu’ils auraient prodigués, l’écrivain ne veut connaître que l’âme de son héros. Sébastien Lapaque, Le Figaro littéraire.