Avec La Terre et les rêveries du repos, Bachelard examine « les images du repos, du refuge, de l’enracinement. » Traversant les rêveries de l’intimité matérielle, il expose comment l’imagination s’efforce de parvenir à l’intérieur des choses. Il se penche sur les grandes images du refuge (la maison, le ventre, la grotte, etc.) et analyse comment elles participent d’un « même mouvement vers les sources du repos ».