Doug Willis (marié, deux enfants) possède une maison de campagne au nord de New York, à Preston Falls. Sous prétexte d’effectuer des travaux, il s’y installe, seul. Tel est le point de départ de cet étonnant roman « existentiel », portrait d’un anti-héros et récit d’un naufrage conjugal.
Mais le plus surprenant tient au rôle joué par Jean, la femme de Willis. Lorsque ce dernier disparaît, c’est une tout autre histoire qui apparaît, complexe, nuancée, douloureuse.
« Preston Falls représente ce que la littérature américaine, en prise directe avec la réalité d’aujourd’hui, peut faire de mieux : écrire, sans jamais les amoindrir, les perditions sociales. » Marie-Laure Delorme, Le Journal du Dimanche
« Aigu, tranchant, souvent très drôle, ce roman fait entendre les silences les plus enfouis. » Michel Abescat, Télérama
Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Francis Kerline.