L’Église de l’Antiquité tardive
« H.-I. Marrou décrit remarquablement ces formes populaires de piété qui se développent, ces nouvelles liturgies qui s’élaborent, ces nouvelles relations, au plan politique, qui se nouent entre les chrétiens et le pouvoir, bref l’éclosion de ces Christiana tempora, de certaines structures de chrétienté dont le Moyen Âge gardera le souvenir nostalgique et souvent erroné. »
Michel Meslin, Esprit
Henri-Irénée Marrou (1904-1977)
Normalien, il soutient sa thèse en 1937 sur Saint Augustin et la Fin de la culture antique. Titulaire de la chaire d’histoire de la Sorbonne, archéologue, épigraphiste, musicologue et historien, il s’est imposé comme l’un de nos grands spécialistes de l’Antiquité.