Du cap Corse à Bonifacio, l'auteur a sillonné l’ile de Beauté. Il a suivi les vieux sentiers du maquis, bordés de bruyères, d’arbousiers, de cistes, de lentisques et de genévriers, que parfument le myrte et le romarin, se nourrissant de mille et un contes traditionnels à travers lesquels transparaissent les peurs, les désirs, les doutes, l’humour, la sensibilité et la sagesse de tout un peuple. Et repu de ses lectures, il a écrit cet ouvrage en écoutant de temps à autre des polyphonies corses.