Errer de nuit dans les rues désertées de Rome en plein mois d’août. Admirer le mouvement d’une femme qui attache ses cheveux. Reconnaître une bouteille de vin voyageant au gré des dîners entre amis. Monter dans le train et espérer trouver quelqu’un à sa place pour l’en chasser avec délectation. Tous ces plaisirs inavouables, ces moments délicieux qui font jaillir en nous un bonheur inattendu…
À mi-chemin entre Je me souviens de Perec et La Première Gorgée de bière de Philippe Delerm, Francesco Piccolo nous livre un catalogue irrévérencieux, universel et poétique de ces moments si particuliers pendant lesquels on ressent une joie inépuisable.
« Tout est ici léger, futile, joyeux, poétique et savoureux. Italianissime, en somme. »
Le Nouvel Observateur
Traduit de l'italien par Anaïs Bokobza