En 1918, l’armistice est signé, mais les trains continuent à ramener du front des hommes meurtris. L’un d’eux, soldat anonyme au visage émacié, semble ne pas vouloir se réveiller. Est-ce l’étrange beauté de ce corps muet qui éveille les sentiments de Claire ? Ou sa détermination à soulager les souffrances ? De confessions timides en aveux fervents, la jeune infirmière et l’inconnu se découvrent…
Virginie Ollagnier, née à Lyon en 1970, est formatrice en communication écrite et en ergonomie, et scénariste de la bande dessinée Kia Ora. Toutes ces vies qu’on abandonne est son premier roman.
« Le lecteur souffre avec cet homme qui pourrait être une allégorie de l’écrivain, enclos dans un corps sans cesse submergé d’émotions et traversé de phrases. Pari romanesque réussi. »
Le Figaro littéraire