J’avais 20 ans, je rêvais de liberté. Je t’ai aimé parce que tu me désirais et que tu me faisais rire. Je t’ai épousé. Dans la corbeille de mariage, il y avait deux petites filles, ton humour, nos engagements et la libération sexuelle. J’étais rebelle, je me suis soumise. Pas très longtemps. Enamourée et exaspérée, pendant quarante ans j’ai bravé le fracas des sentiments, les foudres de la passion, le flux et le reflux du désir. Résultat ? Georges, si tu savais…