Ce travail présente le matérialisme des XVIIe-XVIIIe siècles comme l'opposé d'une métaphysique des forces vitales imaginée par la suite. Tant le matérialisme que le vitalisme cherchent à saisir les déplacements scientifiques postérieurs à la révolution scientifique, qui aboutissent à la « biologie » à la fin du XVIIIe siècle.