« Comme autrefois la peinture, les récits, les contes, le cinéma d’horreur sert d’exutoire, permet de conjurer, de refouler, de sublimer et peut-être de comprendre »
Une approche didactique passionnante de la philosophie à l’appui des grands succès du cinéma d’horreur : du Nosferatu de Murnau en passant par Scream et le célèbre Exorciste de Friedkin, l’auteur se concentre sur les interrogations suscitées par le malaise provoqué par le genre horrifique.
Ainsi, de la réjouissance sado-masochiste adolescente au questionnement sur la radicalité du mal, cette présentation vivante et insolite tente d’explorer la richesse, aussi bien esthétique qu’éthique, que nous offre le cinéma d’horreur.
De Job à Freud, nous constatons qu’il s’agit là d’un spectacle grave capable de toucher universellement.